N° 66 - Avril 2017 Bonjour, J'avais mis en ligne une simple esquisse du chapitre que je souhaitais consacrer, dans le catalogue des oeuvres datées de Jacques Stella, aux « camayeux bleus ». Envisager de compléter la production romaine par celles ne portant pas de dates m'a conduit à le reprendre intégralement pour leur donner l'importance qu'ils méritent. Voici, pour commencer, une introduction générale fouillée - dont le fichier est tout simplement l'un des plus lourds de tout le site! Viendront ensuite les chapitres consacrés aux différentes sections de cet ensemble de plus de cent images. Le travail accompli pour Jacques Stella se mêlant à l'actualité, j'ai voulu donner mon point de vue sur la question de l'autographie d'une oeuvre - le fait de savoir si elle est bel et bien de l'artiste à qui elle est donnée -, en abordant la constitution du catalogue d'un artiste et, pour commencer, la notion de faux en art. En voici donc le début. Bonne lecture! Sylvain Kerspern Précédente lettre d’information : n°65, mars 2017 Table du site

L'autographie en question :

démêler le vrai du faux.

L'actualité me conduit à revenir sur une notion évoquée en passant à propos du présumé Stella de Melbourne : le faux. Elle soulève la question de l'expertise qui peut se concrétiser dans la rédaction d'un catalogue raisonné, tel que celui que je mets en ligne sur ce site même pour Stella, ou celui dont j'ai pareillement esquissé les contours pour Baullery; l'exposition consacrée à Jean Senelle, merveilleux souvenir que je dois à Laurence Lecieux, proposait un tel travail (Meaux, 1997). Un article de la Gazette de l'Hôtel Drouot du 7 octobre 2016 (p. 26-27) fait le point sur l'impact que cela peut avoir pour le marché de l'art, et les éventuels recours juridiques. On me permettra ici une parole d'expert pour clarifier tout ce que cela recouvre, selon moi. - Lire Mise en ligne : avril 2017

Catalogue Jacques Stella

Les « camayeux bleus » Introduction générale. Ensemble majeur des premières années romaines, les « camayeux » (bleus ou non) gardent encore leurs zones d’ombre. Si je n'ai pas pu encore consulter le travail de Céline Caillaux, qui lui est consacré, ni la collection de l'Albertina, ce qui suit doit constituer la synthèse la plus complète sur la question, avec son lot de découvertes et de remises en question. - Lire Mise en ligne : avril 2017

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