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Les Stella
Catalogue de l'œuvre de Jacques Stella : Ensemble - (1655-1657), mosaïque
(Deux) Livre(s) de Vases

de Jacques Stella

et Françoise Bouzonnet Stella,

1667




Mise en ligne en juillet 2022

Dessins.
Historique.
Fonds d'atelier de Jacques Stella; gravés en deux livres publiés en 1667 par Claudine Bouzonnet Stella (1636-1697); collection Bouzonnet Stella, 1697, partie du livre 6 des dessins? collection de Masso.

Un dessin de vase identifié avec le numéro 27 (à deux anses avec frise d'un homme nu - Apollon - entouré de quatre femmes drapées) à la Kunstbibliothek de Berlin (Hdz 2745). Plume et encre brune, lavis brun sur traces de crayon noir. 19,4 x 13,4 cm (ci-contre, confrontation avec sa gravure).

Quatre autres dessins mentionnés par Berckenhagen (1969) sous les cotes Hdz 2337-2340, apparemment différents de ceux gravés. 16,1 x 12 cm; 16 x 11,3 cm; 13,2 x 10,1 cm; 17,1 x 95 cm :
- un reproduit par Berckenhagen, dont le modèle antique est connu par une gravure de Tournier d'après Errard (confrontation ci-contre)
- je ne connais pas les trois autres.

Autres dessins perdus.

50 gravures numérotées par Françoise Bouzonnet Stella. 28,4 x 21,4 cm (au coup de pied).

Frontispice principal :
Deux états :
1. deux vases posés sur un piedestal orné d'une guirlande accrochée à à deux bucranes aux angles et passant par-dessus une coquille au centre, sur lequel est le titre dans un cuir : LIVRE DE / VASES. / Inventé par Mr STELLA chevalier / et peintre du Roy; et sur la base : A. Paris, aux galleries du louvre Chez / CLAVDINE STELLA Avec Privilege./ françoise bouzounet Sculp..
2. avec la date sur l'enroulement au bas du cuir du piedestal.

Frontispice du Livre 2 : un vase posés sur une base orné d'un cuir avec l'inscription : SECOND LIVRE DE VASES. /AUX GALERIES DV LOVVRE. / françoise bouzũnet CHEZ CLAVDINE STELLA avec Privilege./ 1667.

Au bas de la planche 44 : Un drageoir

Partition en deux livres : Livre 1, frontispice et 24 pièces de vases (f° 1-25)
Livre 2, fontispice et 25 pièces de vases, cassolettes, aiguières, coupes, brûle-parfum et luminaires (f° 26-50).

Exemplaires (livres) :
Getty Research Institute (état 2; apparemment à la suite des Divers ornemens d'architecutre dans un même volume);
Munich, Bayerisches Bibliothek (état 1);
Paris, BnF, Da 20 fol, Hd 101a, p. fol.;
Londres, Victoria and Albert Museum.
Paris, Inha;
Bristish Museum, Rijksmuseum...

Bibliographie :

* André Félibien, Entretiens sur la vie et les ouvrages des plus excellens peintres..., Paris, 1666-1688, Entretien X; éd. Trévoux, 1725, t. IV, p. 412.

* «Testament et inventaire (...) de Claudine Bouzonnet Stella», Nouvelles archives de l’Art Français, publiés par J-J. Guiffrey, 1877, p.53, 77 et 79.

* Désiré Guilmard, Les maîtres ornemanistes dessinateurs, peintres, architectes, sculpteurs et graveurs, Paris, 1880, t. 1 p. 50.

* Jean Vallery-Radot, « Note sur trois gravures de la suite des Vases opaques de J.-B. Monnoyer, Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français. Années 1947-1948, Paris, 1949, p. 55-56.

* Roger-Armand Weigert, Bibliothèque Nationale. Cabinet des Estampes. Inventaire du fonds français. XVIIè siècle., t. II, 1951, p. 96, FBS 115-161 (sic)

* Ekhart Berckenhagen, « Zeichnungen von Nicolas Poussin und Seinem Kreis in der Kunstbibliothek Berlin », Berliner Museen, 19. Jahrg., H. 1. (1969), pp. 30-31

* Sylvain Kerspern, «Mariette et les Bouzonnet Stella. Notes sur un atelier et sur un peintre-graveur, Claudine Bouzonnet Stella», Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 1993, 1994, p. 42 (daté de 1667).

* Catalogues de la collection d'estampes de Jean V, roi du Portugal par Pierre-Jean-Mariette, éd. Marie-Thérèse Mandroux-França et Maxime Préaud, Paris, 1996, II, p. 237 (vases par Françoise).

* Lauren Laz in cat. expo. Jacques Stella (1596-1657) Lyon-Toulouse 2006 (sous la direction de Sylvain Laveissière), Lyon-Toulouse, 2006, p. 34 (daté de 1661).
Publication par Berckenhagen (1969) du dessin préparant la figure 27 du Livre.
Jacques Stella
Relevé d'un fragment de vase (1624-1634?).
Plume et lavis d'encre brune sur traces de crayon noir. 16 x 11,3 cm.
Kunstbibliothek de Berlin (Hdz 2338)
Georges Tournier d'après Charles Errard, vase in hortis trans Tiberim. Gravure. Inha.
« Durant l’hyver, lorsque les soirées sont longues, il s’appliquoit ordinairement à faire des suites de Desseins, tels que ceux de la vie de la Vierge, qui sont fort finis, & dont les figures sont assez considérables : il y en a vingt-deux. On voit cinquante estampes gravées d’après lui où sont représentés différents jeux d’enfants. Il a dessiné plus de soixante vases de différentes sortes; plusieurs ouvrages d’orfèvrerie; un recueil d’ornements d’architecture; toute la passion de Notre Seigneur qu’il a peinte depuis, en trente petits tableaux : c’est le dernier ouvrage qu’il a achevé.
Il avoit fait auparavant seize petits tableaux des plaisirs champêtres, & un nombre d’autres grands sujets concernant les arts. On auroit peine à croire qu’il eût produit tant d’ouvrages, considérant le peu de santé qu’il avoit : aussi doit-on les regarder comme un pur effet de son grand amour pour la Peinture. »

(Félibien)

Cet ouvrage, pour lequel Stella a conçu une partition en deux livres, est évoqué par Félibien (1688, ed. 1725, p. 412), qui parle de plus de soixantes vases de différentes sortes. Daté de 1667 - le dernier chiffre en est parfois mal lu -, il accompagne dans le temps les Pastorales, constituant le dernier ouvrage daté de Françoise, qui dût ensuite se consacrer à des sujets de dévotion d'après l'oncle. Claudine mentionne ce livre dans son inventaire de 1693-1695; elle en détaille ce qui lui en restait pour l'ouvrage entier en deux livres et elle en conservait les planches On me permettra ici de ne pas reproduire intégalement le livre, et de me contenter de renvoyer aux publications en ligne des exemplaires des bibliothèques mentionnées plus haut, notamment à celui du Getty et à la miniature de sa visonneuse ci-dessus.
Dater.
Les remarques faites à propos des Divers ornemens... sont valables pour ce nouvel ensemble de modèles, inventés par l'artiste. La mention de Félibien suppose qu'ait été opéré un choix sur un ensemble un peu plus important, ce qui n'est peut-être qu'une approximaiton fautive du biographe. Toutefois, le dessin publié par Berckenhagen, rapproché d'une gravure de Tournier sur un dessin d'Errard d'après l'antique, tend à le confirmer, suggérant une inspiration générale de ces modèles d'après l'antique, à partir de relevés faits en Italie (1616-1634). Ceci n'interdit pas de penser que le dessin de la Kunstbibliothek de Berlin pour la gravure 27 soit une mise au propre faite en France pour la publication.

L'essentiel des images du livre tient en des gravures dont le style est, par nature, très impersonnel. Toutefois, certains motifs comprennent des figures qui appartiennent bien à la maturité en France, qui amplifie par une grammaire des formes à l'antique leur restitution. On peut ainsi rapprocher celui de la frise de putti du frontispice du Livre 2 des dessins du Louvre montrant des putti manifestement inspiré de l'antique mais d'une fermeté de style tardive (Louvre, cabinet des dessins, Inv. 32897-32899). Au demeurant, la facture de ces feuilles très allusive associant ligne simple et lavis de contour ombré est voisine de celle du dessin de Berlin, et n'a aucun équivalent parmi les dessins assurément italiens. Ce rapprochement est, de fait, de nature à éclairer le statut des frises du Louvre, sans doute conçues comme partie d'une possible publication.

En conséquence, et par commodité, je place l'ouvrage dans la dernière section du catalogue dans le cadre de l'atelier des Bouzonnet, parmi les ouvrages nés du « grand amour » de Stella pour la peinture, sans exclure qu'il n'ait été conçu un peu plus tôt que les toutes dernières années de son existence, éventuellement jusqu'aux Jeux et plaisirs de l'enfance. Françoise, qui ne signe que les frontispices, pourrait l'avoir entrepris après la mort de l'oncle, puisqu'il n'est publié qu'en 1667, année au cours de laquelle Claudine publie également ses propres Pastorales d'après Jacques. Un premier état, sans date au frontispice, concerne apparemment le seul livre 1.
Exemplaire sans date
au frontispice du Livre de vases
du Rijksmuseum. Gravure.
Frontispice daté de 1667
du livre 2 du Livre de vases
du Victoria & Albert Museum. Gravure
Quatre frises de putti à l'antique.
Plume et lavis. 37 x 22,5 cm.
Louvre, Inv. 32897.
Quatre frises de putti à l'antique.
Plume et lavis. 34,7 x 22,4 cm.
Louvre, Inv. 32898.
Iconographie et intention.
Les deux frontispices sont un peu réducteurs, puisque le volume comprend d'autres objets que les vases, en particulier le livre 2. Quoiqu'il en soit, il s'agit de proposer des modèles utiles aussi bien à la réalisation de sujets en peinture que pour la sculpture, suivant un style sévère et élégant, inspiré de l'antique par les sujets comme par le goût.

Il existe des précédents que notre artiste devait connaître, entre autres par Agostino Veneziano (v. 1490-v. 1540) (par exemple, Vase, 1531, Rijksmuseum); par Androuet du Cerceau (1510?-1585?), qui semble notamment avoir inspiré la planche 10 du livre de Stella; ou par le Lyonnais Georges Reverdy (1531-1564/5) (exemplaires du Rijksmuseum).

L'ouvrage comparable de Charles Errard (v. 1606/9-1689) dédié à la reine de Suède en 1651 a déjà été évoqué. Peu après, l'élève de Stella Georges Charmetton (1623-1674) confie à Nicolas Robert (1614-1680) la réalisation d'un ensemble de six vases, (ré?)édité en 1676 par Gérard Audran. Il faut encore mentionner Jean-Baptiste Monnoyer (1636-1699), dont Vallery-Radot (1949) a signalé l'emprunt inversé, donc d'après la gravure, à Stella pour une de ses propres gravures. Dans son cas, cela participe de ses contributions aux décors - notamment auprès d'un Charles de La Fosse (1636-1716) - pour les natures mortes et autres bouquets de fleurs venant peupler les voussures d'une pièce d'apparat.

Ces différents exemples confirment qu'un tel livre s'inscrit dans la nécessaire documentation d'un artiste dans le domaine ornemental, tout en pouvant servir au peintre d'histoire. En plein XVIIIè siècle, un François Boucher ressentira encore le besoin de faire graver ses propres inventions dans le genre, l'actualisant suivant le goût rocaille.
(Ci-dessus)
Françoise Bouzonnet Stella d'après Jacques,
Livre de vases, F°10 (Vase à rinceau).
Gravure. Env. 28,5 x 21,5 cm. Inha.

(Ci-contre)
Jacques Androuet du Cerceau,
Vase à rinceau.
Gravure. Env. 12 x 6 cm. Inha

Françoise Bouzonnet Stella d'après Jacques, Livre de vases, F°27 (Vase avec Apollon). Gravure, Rijksmuseum. Jean-Baptiste Monnoyer, Vase de fleurs avec Apollon. Gravure. 48,3 x 37,2 cm. Rijksmuseum.
Vase au buste de Silène,
F°18.
Vase au mufle de lion,
F°2.


Sainte Hélène faisant transporter la Vraie Croix, 1646.
Toile, détail. Localisation actuelle inconnue

Trouve-t-on des équivalences dans la peinture de Stella? Jusqu'à la Naissance de la Vierge de 1644, pour s'en tenir aux ouvrages datés, ses vases ou pot à fleurs sont assez simples. Le tableau en largeur du musée de Lille pour l'oratoire d'Anne d'Autriche au Palais-Royal propose, sur la table au-dessus du bain de Marie, entre deux plats, un vase au décor au raffinement poussé, mais sans équivalent dans notre Livre. En revanche, des quatre vases que doivent charger les hommes dans le bateau dans Hélène faisant transporter la Vraie Croix perdue, de 1646, deux sont manifestement sur un de ses modèles (voir ci-dessus). Ils sont au sol, et on reconnaît le buste ventru de Silène du folio 18 au premier plan, et derrière, moins évidents, le bouchon orné du couvercle et le mufle de lion du pot du folio 2. Le premier reparaît au pied de la créature à laquelle Prométhée donne vie (tableau à Oldenbourg).
Prométhée donnant la vie à sa statue.
Toile. 76 x 67,5 cm.
Oldenburg, Landesmuseum
Dans l'étalage de pièces décoratives offertes au dieu adoré par Salomon sacrifiant aux idoles (Lyon, Musée des Beaux-Arts), on reconnaît le folio 15 de notre livre par la petite tête au sommet du vase, montré de trois-quarts avec une anse à enroulement et la partie basse plus ornée quand la gravure choisit le profil, une autre anse et une base plus sobre.

Ces remarques permettent de comprendre dans quel contexte chronologique et stylistique le livre a pu être conçu, vraisemblablement durant les années de ces ouvrages, à partir de 1646. Il faut aussi noter qu'il peut s'agir de pièces d'orfèvrerie, le métier de son beau-frère auquel le jeune Sébastien (1644-1662), dernier des héritiers Bouzonnet, commença de se former (Arch. Nat., MC/ET/XCVI/79, 4 février 1662) avant de mourir brutalement.
Salomon sacrifiant aux idoles,
dite aussi La folie de Salomon.
Toile, détail.
Lyon, Musée des Beaux-Arts
Vase sommé d'une tête,
F°15.
Le livre appartient donc bien à la campagne de diffusion de son goût par la gravure voulue par Jacques Stella, commencée avec Jean Couvay et François de Poilly vers 1646, pour certains Jeux et plaisirs de l'enfance, puis largement amplifiée par les Bouzonnet. Antoine en reprendra le principe, en copiant des décors de Giulio Romano à faire graver par ses sœurs, à quoi la mort précoce et accidentelle d'Antoinette en 1676 puis la disparition de son frère en 1682 sonna sans doute le glas.
Fortune du livre : quelques exemples, du pittoresque baroque aux sources du néo-classicisme.
Une part non négligeable de la fortune s'incarne dans les citations ou remplois que la postérité lui accorde. Les Pastorales ont volontiers servi pour des tentures; les Jeux et Plaisirs de l'enfance, la porcelaine; les vases ont été repris par cet artisanat et plus généralement dans la création d'objets d'art, particulièrement en Allemagne et en Angleterre. La porcelaine de Meissen a volontiers exploité les modèles de Stella, soit très directement, par Johann Gottlieb Kirchner (1707-vers 1768) notamment, soit plus librement. Le livre aurait été traduit en allemand (?) au début du XVIIIè siècle, ce que je n'ai pu vérifier et qui me laisse songeur puisqu'il n'y a guère de texte que dans le frontispice.

Récipient grotesque (au Silène)
Porcelaine. H. : 81,9 cm. Meissen, Porzellansammlung, Staatliche Kunstsammlungen Dresden

Vase au buste de Silène,
F°18.

C'est plus particulièrement en Angleterre et plus tard dans le siècle que les propositions de Stella ont été appréciées. On a ainsi pu identifier le modèle du folio 11 dans le Portrait de Lady Diana Beauclerk par Joshua Reynolds, derrière elle. Il est généralement daté vers 1765. Faut-il y voir une conséquence de l'installation de Pierre Demasso à Londres quelques années plus tôt? Le peintre a-t-il repris un vase existant ou s'est-il inspiré du Livre de Stella?

Ce tableau se place à un moment-clé de l'évolution artistique. Dans ce contexte, il faut évoquer le rôle de Josiah Wedgwood (1730-1795) dans l'émergence du goût néo-classique en Angleterre*. Sa correspondance mentionne le Livre de Vases, qu'il prisait fort et dont il se servit, avec plus ou moins de réussite, pour produire des aiguières. Dans son association avec Thomas Bentley (1730-1780) via Etruria, Thomas, cousin de Josiah, est chargé des « ouvrages utiles ». Wedgwood écrit alors à son associé : « Vous savez que je n'ai jamais pensé que la vaisselle ornementale ne devrait pas être de “ quelque usage” (... )J'aurais donc pu souhaiter que vous n'ayez pas répété cette idée si souvent, ni demandé si mon partenariat avec Thomas Wedgwood excluerait notre fabrication des aiguières “ Stella ”. » (Meteyard 1866, p. 191). La remarque souligne le prix, sinon le succès de la production d'après notre artiste.

Le site du Victoria & Albert Museum, à propos d'un de ces vases, note que Wedgwood décrivait le Livre de Stella comme admirable et susceptible d'inspirer beaucoup de belles choses. Il correspondait pleinement aux ambitions stylistiques classicisantes - au cœur de la question de l'ornemental et de l'utile - qui ne pouvaient mieux s'incarner que dans les vases. L'exemple du musée londonien à partir d'un des deux modèles du premier frontispice renchérit dans l'austérité par le recours au basalte noir, rompant décidément avec la profusion roccoco sensible dans la porcelaine de Meissen, par exemple.

Enfin la France se mit au diapason, comme le prouve l'activité de la fabrique de porcelaine du duc d'Angoulême, et le vase du Victoria & Albert Museum, en reprenant la forme générale du vase du folio 10 en modifiant le motif à la surface du corps sur le modèle d'autres folios (par exemple 19).

S.K., Melun, 1er juillet 2022

* Sur Wedgwood, voir notamment :
- Eliza Meteyard, The Life of Josiah Wedgwood: From His Private Correspondence and Family Papers, notamment t. 2; London, 1866;
- Laurence Machet « De la fabrication de « pots « à la création d'un goût national : le cas Wedgwood », Revue française de civilisation britannique, XIII, 4, 2006, Online since 01 January 2006, connection on 30 June 2022. (Retour au texte)
Joshua Reynolds (1723-1792),
Lady Diana Beauclerk (1734-1808)
Toile. 127 x 101,6 cm.
English Heritage, Kenwood
Vase à la danse,
F°11.
Wedgood and Bentley / Etruria (1769-1780) d'après Stella,
Aiguière aux mascarons
Grès noir (« black basalt »).
H. : 32,07 D. : 13,97 cm.
Londres, Victoria and Albert Museum
Vase aux mascarons,
Frontispice 1.
Fabrique du duc d'Angoulême (1781-1793) d'après Stella,
Aiguière au mascaron
Porcelaine avec dorures.
Londres, Victoria and Albert Museum
Vase au mascaron,
Frontispice 10.
Table générale - Table Stella
Catalogue Jacques Stella : Ensemble - Comme un pur effet de son grand amour... (1655-1657), mosaïque
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